Sur une idée originale de l’antenne Centre, Dionée a fait un don cette année pour la restauration de la tourbière des Landes dans le Cher. Elle a été invitée en retour par le conservatoire d’espaces naturels à en faire la découverte par une belle journée d’été. Comme toute aventure, celle-ci a commencé autour d’un repas à Orléans, avant que la troupe se lancer à la chasse aux plantes carnivores. La suite de l’histoire se passe à Ménétréol-sur-Sauldre, sur les pas de deux animatrices et du conservateur bénévole. En guise de décor, la tourbière baigne dans le lit majeur de la Petite Sauldre, encadrée par les deux étangs communaux. Les landes humides et les boisements marécageux de la tourbière sont parmi les derniers en bon état de conservation dans la région.
Auteur : carnophile
Sortie Nationale 2018 : Pinguicula des Pyrénées – Visite guidée
Longtemps attendue, la sortie nationale de Dionée dans les Pyrénées a eu lieu début juin. Trois jours consacrés aux plantes carnivores de la région, avec un focus sur les Pinguicula en pleine floraison. La météo était à la hauteur de l’évènement : fraîcheur, averses et orages étaient prévus sur les trois jours côté français. Le camp de base, situé dans le petit village de Gouaux, permettait de rejoindre l’ensemble des sites.
Tuto rempotage à la serre carnivore
« Il pleuvait ce jour-là. Lionel et moi étions en train d’admirer notre collection encore somnolente. En effet, à cette époque de l’année les pièges encore vivants se… Lire la suite « Tuto rempotage à la serre carnivore »
La fantastique et orléanesque épopée de la contrée carnivore
Une version remasterisée du précédent article « Travaux de rempotage à la serre d’Orléans », ce récit vous fera plongée dans une aventure fantastique, imageant avec humour les dernières activités de l’Antenne Centre.
« Leur monde dépérissait… les sols précaires en pleine décomposition libéraient des odeurs fétides. La paix du peuple végétal merveilleux ….. »
Travaux de rempotage à la serre d’Orléans
Depuis un certain temps, beaucoup de plantes n’avaient pas été rempotées. Le substrat était précaire, en pleine décomposition (on s’habitue assez vite à l’odeur de putréfaction), et donc bien trop enrichie. La santé de certaines plantes était d’ailleurs remise en question. Il était donc temps de se retrousser les manches. Mais ce travail qui nous attendait, nous a cependant réservé bien des surprises.